Les conditions-cadres sur les marchés financiers, tout comme les besoins de nos clients, évoluent en permanence. «Un modèle de participation orienté sur l’avenir s’adapte à de tels changements. Nous nous alignons sur les besoins, nous pouvons ainsi garantir la stabilité financière de la Fondation et donc la prévoyance pour toutes les générations», explique Werner Wüthrich, directeur de la Fondation collective Vita. La priorité demeure sur la sécurité et elle est même renforcée : Le conseil de fondation de la Fondation collective Vita a décidé, de relever la réserve de fluctuation de valeurs cible de 12 à 14 pour cent des engagements.
À partir de 2024 – pour la définition du taux d’intérêt 2025 – une rémunération supplémentaire sera distribuée à partir d’un taux de couverture de 103 pour cent, au lieu de 102 pour cent actuellement. Jusqu’à un taux de couverture de 103 pour cent, la totalité de l’avoir de vieillesse est rémunérée au taux d’intérêt minimum légal de la LPP prescrit par le Conseil fédéral. La rémunération supplémentaire est toujours fixée à l’avance pour l’année suivante et en fonction du niveau du taux de couverture de la fondation à la fin novembre d’une année.
Désormais, toutes les affiliations bénéficient dès leur deuxième année d’affiliation de la totalité des rémunérations supplémentaires selon le tableau des intérêts. L’année de l’affiliation, l’ensemble des avoirs de vieillesse (si le taux de couverture est supérieur à 100 pour cent) est rémunéré au taux d’intérêt minimum légal de la LPP.
Ces adaptations permettent notamment de rendre le modèle de prévoyance plus facile à comprendre et à comparer sur le marché. L’idée centrale d’une participation attrayante est préservée – les assurés profitent directement et de manière équilibrée du revenu des placements.
